La vie n’est pas là où nous la pensons, la vie est là où nous l’aimons.
Comment te sens-tu ? …Pour autant que tu puisses sentir…
Où es-tu ? Dans ce que tu penses ou dans ce que tu ressens ?
La vie n’est pas là où tu le crois.
La vie n’est pas là où l’on pense. La vie est loin de nos pensées. La vie s’installe là où on ressent, là où on vibre…
Es-tu prêt à redécouvrir ce qui se passe à l’intérieur de toi ?
Changer ce que tu as besoin, au plus secret de toi-même.
Le chemin est de prendre pour maître, ami et guide : ta maladie, tes symptômes, tes malheurs quotidiens, tes difficultés.
Nous croyons que ce sont nos problèmes que nous rejetons alors que c’est le fait que nous rejetions certaines choses qui crée un problème.
Car lorsque nous cessons de rejeter cet événement, ce souvenir, cette émotion, cela devient une alliée, un maître.
Le scandale de la maladie
En tant qu’être humain, nous trouvons la maladie inacceptable.
Donc nous cherchons à la rationaliser. Nous cherchons ce qu’il y a derrière la maladie, pour que cela devienne maîtrisable.
Et peu à peu, les chercheurs, scientifiques, sont parvenus à faire le lien entre les réactions / souffrances émotionnelles et les maladies physiques.
Le microbe n’est rien, le terrain est tout.
Claude Bernard
Le lien entre psyché & corps – Psychologie & biologie
Les émotions ont un impact direct sur la biologie et les scientifiques le prouvent peu à peu. Le stress impacte le corps.
Un médecin allemand perd un enfant dans ses bras car il a reçu une balle dans l’artère fémorale. Quelques mois plus tard, à la suite de cette perte, il se découvre un cancer du testicule. Et il réalise que le testicule est en lien avec la pro-création, et donc la création d’un enfant exactement suite au fait qu’il ait perdu son enfant.
Logique biologique, logique du corps
Etre en prise avec la logique émotionnelle semble essentiel.
Il faut apprendre à discerner la logique mentale, rationnelle, consciente de l’adulte avec elle de la logique de l’enfant, du corps et des émotions apparentées au cerveau droit car c’est elle qui mène la danse au fond de nous et régit nos actions, nos choix, notre bien-être.
Il est donc intéressant d’entrer en communication avec le corps, d’apprendre à parler son langage : le langage du cerveau droit.
Un exemple de lien corps physique & corps émotionnel : la cystite – qui est une solution symbolique que le corps trouve pour redéfinir les limites de son territoire lorsque la personne se sent envahie.
Etre à l’aise avec ses émotions
Etes-vous à l’aise avec vos émotions qui viennent de votre prime enfance ?
Est-ce que ressentir revient à être faible pour vous ? Car ces croyances sont limitatives.
refuser de vivre sa vie émotionnelle, c’est comme être amputé de soi-même.
Car c’est dans notre plus grande fragilité que se trouve notre plus grande force et notre puissance.
Christian flèche
L’émotion est le mouvement naturel, comme le bébé qui est dans ses émotions sans limite, c’est l’expression même de la vie.
Nous allons voir un spectacle ou nous nous rendons au stade pour nous émouvoir, pour vibrer.
La vie c’est le mouvement et la maladie c’est le mouvement qui s’est arrêté, par censure, auto-censure.
La maladie c’est un réflexe biologique du temps qui s’est arrêté.
Communiquer avec notre corps va nous apprendre à ré-entrer dans le cycle des émotions, à entrer dans le cycle de la vie et de la renaissance. Le corps est un maître qui a ses lois, qui a ses règles.
Ne soyez jamais intelligents avec vos patients si vous voulez comprendre ce qui a généré leur malheur apparent.
Ne soyez pas trop intelligents avec vos enfants, vos filleuls.
Ecouter la maladie, c’est récupérer de la conscience
La maladie c’est un moment d’oubli, un déni d’une peur, d’une peine passée : la peur de mourir, la tristesse face à l’objet cassé.
Ecouter cela c’est récupérer la joie, la présence au monde, libérer des pans entiers de notre vie.
Pour la biologie, le temps n’existe pas, seul le présent existe.
Dans l’émotion, tout est vécu dans l’instant présent. Cet événement passé depuis fort longtemps, que l’on cache, que l’on se cache à soi-même, nous limite dans le présent.
Il faut aller dans la blessure, dans l’émotion, dans la souffrance, dans la fragilité. A l’issue de cela, je pourrai retourner vers toutes les choses dont je me prive car j’ai été blessé par le passé : des relations, des personnes, des animaux, etc.
C’est en cela que la maladie est un maître.
La vie n’est pas là où tu penses, la vie est là où tu aimes.
Christian Flèche
Christian Flèche – Enseignant et professeur
Le Sommet de la Conscience organisé par Ana Sandrea et son équipe met en ligne des conférences de qualité sur le bien-être et le développement personnel.

